Voilà, 5 jours, et je me retrouve avec le dernier petit bout de papier qui complète ma collection de BAFA. 5 jours. C'est court. 5 jours à chanter, à jouer, à flipper, à rire , à pleurer. 5 jours plus riches que les 360 autres que j'ai pus vivre en cette année 2008 réunis. Et qu'est-ce qu'il en reste ? Des chansons à la pelle, Des heures de vidéos, des centaines de méga pixels de photos , des kilo octets de journal de bord, des tonnes de sourires, des montagnes de souvenirs, UNE expérience unique, et 35 taches indélébiles dans ma mémoires. N'en déplaise à certain , une tache n'est pas forcement quelque chose que l'on gratte avec un chiffon..."Et c'est pas fini et ça continue, Vas y patron sers moi un rêve Je te le paierai en fou rire, Il est pas l'heure de la trêve On laissera pas nos poings mourir" Non, c'est pas finit, juste le retour à la réalité. La réalité glaciale à l'odeur de pisse et qui pèse lourd sur mes épaules comme mon sac à dos dans gare du nord. C'est le retour à la Big City Life, "Don't let the system get you down..." . Penses-tu!
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1 comment:
Abdel tu as autant que moi failli a ta mission!!! (1 com/j)
HS je sais. Les gens du BAFa vont regarder cet article et dire 'oh qqn du bafa a mis un commentaire cool!' Enfin bref j'aggrave mon cas.
N'empeche... BIG CITY LIFE DON'T LET THE SYSTEM GET YOU DOWN. the linguist accross the seas and the oceans, a permanent itinerant is what i've chosen, I find myself in a big city prison arisen from the vision of man kind, designed to keep me discreetly, neatly in the corner, you'll find me with the flora and the fauna and the hardship, back a yard is were my heart is since i find it hard to depart this big city life..
De tete s'il vous plait.
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